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Prévention auprès des jeunes en FWB

La Fondation Samilia mène actuellement un projet de sensibilisation à l’exploitation sexuelle auprès des jeunes en milieu scolaire, qui bénéficie du soutien de la Direction de l’Egalité des chances du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Ce projet vise principalement à informer et sensibiliser mais aussi prévenir un public relativement jeune aux thématiques de la traite des êtres humains, de l’exploitation sexuelle ainsi que du loverboys. Les jeunes représentent un public cible vulnérable sur ces questions.

Concrètement, nos interventions se déroulent sur une durée de 2 heures de cours successifs, qui peuvent être organisées par le titulaire de classe ou le professeur intéressé à exposer cette thématique.

 

Sous le vernis, l’exploitation humaine

Campagne de sensibilisation à l’ exploitation économique dans les bars à ongles / 2023

La traite des êtres humains se développe majoritairement dans les secteurs d’activité économique utilisant une main d’œuvre peu qualifiée. En diminuant la demande pour les types de biens ou de
services ayant recours à des travailleurs victimes de traite, il est possible d’agir concrètement pour lutter contre cette exploitation de l’être humain.

Vous pouvez être acteur de changement en évitant les Nails bars où travaillent des personnes exploitées. Voici quelques indicateurs pour les reconnaître :

– L’odeur des produits est particulièrement forte :  elle est également nocive, et combinée au manque ou à l’insuffisance de système d’aération, elle rend la respiration difficilement supportable toute une journée dans le salon. Les produits utilisés ne respectent pas toujours
les normes européennes → la mention devrait figurer sur l’emballage des produits
– Les règles d’hygiène ne sont pas toujours respectées : le matériel n’est pas stérilisé → risques d’infections a postériori pour le client.
– Rapidité d’exécution du travail : car obligation pour le travailleur de faire un maximum de prestations → en raison du stress : risques de blessures pour le client.
– Une disponibilité (presque) sans limites : la personne travaille 7j/7 et en-dehors des heures officielles, sur rdv via sms/whatsapp. Par ex : durant la période covid, le racolage des clients a été pratiqué en weekend ou en soirée dans la rue, alors que les salons étaient officiellement fermés.
– Les vêtements portés par les employés reflètent une situation de pauvreté.
– Le travailleur ne parle ni le français ni l’anglais, la communication avec les clients est difficile voire impossible sans qu’un autre travailleur présent dans le salon ne traduise.
– Les prix des services sont très attractifs : pour attirer un maximum de clients, reçus à la chaîne. Ce qui oblige
les travailleurs à prester sans interruption le plus souvent sans
prendre une pause pour manger.
– Racolage des clients devant les établissement : les travailleurs de différents nails bars sont non-chalants entre eux pour véritablement s’arracher les clients potentiels
– Tant des hommes que des femmes à ce qui est très rare dans ce secteur de l’esthétique où ce sont généralement des femmes qui officient.

Colloque : La traite sexuelle : des zones de conflits armés à l’exploitation dans le pays de destination en passant par les routes migratoires

LA TRAITE SEXUELLE : DES ZONES DE CONFLITS ARMÉS À L’EXPLOITATION DANS LE PAYS DE DESTINATION EN PASSANT PAR LES ROUTES MIGRATOIRES

11 mai 2023 – Bruxelles

 

Les fondations Samilia (Belgique) et Stand Speak Rise Up! (Luxembourg) ont organisé un colloque le 11 mai 2023, à Bruxelles, sur le thème : « La traite sexuelle : des zones de conflits armés à l’exploitation dans le pays de destination en passant par les routes migratoires ».

Deux thèmes ont été abordés au cours de l’après-midi d’étude :

  • Les violences sexuelles à l’encontre des femmes lors des conflits armés et
  • La traite sexuelle.

Ces thèmes ne sont pas si éloignés l’un de l’autre dès lors que, d’une part, ce type de crime est genré et, d’autre part, les violences sexuelles dans le cadre de conflits peuvent n’être que le point de départ d’une situation de traite des êtres humains.

La première partie du colloque a abordé des violences sexuelles faites aux femmes dans le cadre de conflit armés. Ces violences ne sont pas nécessairement de la traite des êtres humains mais constituent des crimes de guerre tant au sens des normes internationales que de celles nationales. L’exemple du Sahara oriental mettra en lumière ce crime et démontrera que ces violences peuvent être considérées comme un « push factor » qui mènent les femmes à migrer vers des pays dans lesquels elles estiment être en sûreté.

Les enfants nés de ces viols de guerre feront l’objet d’un focus particulier par une approche juridique et sociologique. Cette analyse peut être transposée à la situation des enfants nés de la traite sexuelle dès lors que le traumatisme psychologique de la victime est identique et risque d’engendrer un rejet de l’enfant à naitre.

Les guerres sont également des « push factor » qui entrainent des migrations forcées. Elles jettent ceux qui les fuient sur les routes du trafic d’êtres humains qui sont également lieux de violences sexuelles. L’approche proposée pour cette partie est, d’une part, juridique et factuelle et, d’autre part, journalistique avec la présentation synthétique de reportages réalisés in situ par un grand reporter spécialisé en traite des êtres humains.

La route des trafics mène souvent les femmes vers une exploitation sexuelle dans le pays de destination. Les deux dernières interventions concernaient donc la traite des êtres humains, troisième crime le plus rémunérateur au monde, dans cette finalité particulière qu’est l’exploitation sexuelle. La première intervention a développé la notion de traite sexuelle au sens des conventions internationales et régionales. La seconde a analysé les obligations pour les États de poursuivre et juger les auteurs découlant à la fois des instruments juridiques anti-traite et de ceux de droit international pénal dont le droit international humanitaire.

Croyez-vous être victime de traite ?

Campagne de sensibilisation à l’exploitation économique et domestique / 2022

 

  • Pas (ou presque pas) payé.e pour le travail fait.
  • Est insulté.e ou menacé.e – subit des violences physiques et psychologiques et/ou sexuelles.
  • Travail 7j/7 ou presque – et est parfois enfermé.e, séquestré.e.
  • Isolé.e, n’a pas ou peu de contacts sociaux.
  • Documents d’identité et/ou téléphones confisqués.
  • Sous le contrôle ou l’emprise de la personne pour qui il/elle travaille.
12 Oct 2021 - Séance ciné-débat : l’exploitation sexuelle, la Belgique en fait-elle assez en termes de prévention?

Dans le cadre de sa campagne de sensibilisation à la traite des êtres humains intitulée « Tous les contes de fées n’ont pas une fin heureuse », l’ASBL Samilia organise une projection-débat du court-métrage « La Boucle », réalisé par Agustin Eguia, qui retrace le parcours d’une jeune femme roumaine exploitée par son petit ami et se retrouve malgré elle exploitée dans le milieu de la prostitution. La projection sera suivie d’un débat entre le public et nos intervenants :

  • Jean-Sébastien Jamart, ancien Président du Comité ad-hoc de lutte contre la traite du Conseil de l’Europe ;
  • Sarah De Hovre, directrice de Pag-Asa
  • Charles-Eric Clesse, membre du CA de Samilia et Auditeur du travail du Hainaut ;
  • Sandrine Cnapelinckx, directrice de Samilia ;

–>    Déroulé de la soirée :
18h00 : accueil des participants
18h30 : allocution de la Présidente de l’ASBL Samilia
18h40 : projection du court-métrage
18h50 : présentation du réalisateur et des experts
18h55 : allocution de Sarah De Hovre
19h05 : allocution de Charles-Eric Clesse
19h20 : allocution de Jean-Sébastien Jamart
19h35 : échanges et débats avec la salle
Les mesures sanitaires seront respectées : port du masque obligatoire

01 Juillet 2021 - Séance ciné-débat : l’exploitation sexuelle, la Belgique en fait-elle assez en termes de prévention ?

Dans le cadre de sa campagne de sensibilisation à la traite des êtres humains intitulée « Tous les contes de fées n’ont pas une fin heureuse », l’ASBL Samilia organise une projection-débat du court-métrage « La Boucle », réalisé par Agustin Eguia, qui retrace le parcours d’une jeune femme roumaine exploitée par son petit ami et se retrouve malgré elle exploitée dans le milieu de la prostitution. La projection sera suivie d’un débat entre le public et nos intervenants :

  • Jean-Sébastien Jamart, ancien Président du Comité ad-hoc de lutte contre la traite du Conseil de l’Europe ;
  • Charles-Eric Clesse, membre du CA de Samilia et Auditeur du travail du Hainaut ;
  • Sophie Jekeler, présidente de Samilia ;
  • Sandrine Cnapelinckx, directrice de Samilia ;
  • Agustin Eguia, réalisateur de films.
–>    Déroulé de la soirée :
18h00 : accueil des participants
18h30 : allocution de la Présidente de l’ASBL Samilia
18h40 : projection du court-métrage
18h50 : présentation du réalisateur et des experts
18h55 : allocution d’Agustin Eguia
19h05 : allocution de Charles-Eric Clesse
19h20 : allocution de Jean-Sébastien Jamart
19h35 : échanges et débats avec la salle
20h30 : drink convivial.
Les mesures sanitaires seront respectées : port du masque obligatoire
Bar ouvert avant et après la projection
Tous les contes de fée n’ont pas une fin heureuse

Campagne de sensibilisation à l’exploitation sexuelle / 2020

Court-métrage

Visionner ici la version intégrale du court-métrage réalisé par Agustin Eguia, qui s’est engagé à nos côtés dans la lutte contre cette grave violation des droits humains qu’est l’exploitation sexuelle. Cette vidéo est produite par la société belge 87 seconds, avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International et du Service de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La vidéo a également reçu le parrainage de la campagne Blue Heart de l’UNODC (Office des Nations-Unies de lutte contre la drogue et le crime). Le 10 juin 2020, Samillia s’est vue décerner, pour ce court-métrage, le Premier Prix – dans la catégorie dite des « organisations actives dans le secteur à profit social » – du concours Video Experience Day de l’AP Hogeschool Antwerpen.

Je dis STOP !

Campagne de sensibilisation ‘je dis stop’

Depuis sa création, Samilia est membre à part entière du GROUPE STOP, qui vise à lutter contre l’exploitation sexuelle des enfants et qui réunit d’autres membres de la scène associative tels qu’ ECPAT Belgium, Child Focus, Plan International Belgium mais aussi le SPF Justice, SPF Affaires Etrangères, Police Judiciaire Fédérale, la Défense, la Fédération du Tourisme et FEBETRA. Nous lançons aujourd’hui la nouvelle campagne de sensibilisation « JE DIS STOP » visant au signalement de situations où l’exploitation des mineurs est clairement reconnue, même à l’étranger.

Journée européenne de la lutte contre la traite des êtres humains

Ce 18 octobre est la Journée européenne de lutte contre la Traite des Êtres Humains.Pour l’occasion, Samilia s’associe avec l’artiste Milva Ghenda autour d’une exposition dénonçant la déshumanisation et la TEH en cette période de pandémie.La COVID19 a des conséquences dramatiques les droits fondamentaux, d’autant plus pour les personnes précarisées comme les victimes de la TEH. Pour Samilia il était primordiale de collaborer avec une artiste engagée pour aborder la thématique de la traite de façon artistique et sensible. Les dates de l’exposition seront annoncées dès que les mesures sanitaires le permettront. Restez connecté ! #EUAntiTraffickingDay #traitedesêtreshumains #TEH #Samilia #MilvaGhenda #Endhumantrafficking #HumanRights

Le goût amer du chocolat

Le chocolat, nous l’aimons tous. Mais nous ignorons souvent les dessous amers qui sont liés à sa production.

Prendre conscience des exactions liées à la production de certains chocolats et agir en
conséquence représente un changement nécessaire. Avoir une consommation éthique et soutenir notre initiative peut faire toute la différence.

Pour chaque visiteur, nous planterons un cacaotier virtuel. L’image est symbolique, mais elle représente votre engagement qui est, lui, inestimable.

LAL BATTI Express, pièce de théâtre

A l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre la traite des êtres humains, ce 30 juillet 2019, l’asbl Samilia organise une représentation exceptionnelle et unique en Belgique : la pièce de Théâtre “Lal Batti Express”

L’ASBL Samilia, nouvel acteur dans le paysage associatif, vient d’être créée dans le but de mettre en œuvre des projets de terrain de sensibilisation et de prévention à la traite des êtres humains en Belgique.

 

Bet4Life, une initiative de la Fondation Samilia

Cette initiative vise à mettre en lumière le côté sombre d’un événement sportif extraordinaire, en l’occurrence, l’exploitation et la traite des êtres humains.

Cette campagne ne veut en aucune manière être dirigée contre la Coupe du Monde ou tout autre événement sportif. C’est une campagne qui dénonce les crimes commis dans l’ombre.

La Coupe du Monde attire des millions de fans. Malheureusement, la plupart de ces supporters ignorent que derrière les sourires, les réjouissances et les gestes techniques époustouflants, certaines personnes sans scrupules profitent de la situation pour commettre des méfaits révoltants : mendicité forcée, prostitution forcée, travail forcé, trafic d’êtres humains.

Cette campagne est une juxtaposition entre les frissons d’un jeu et l’horreur de l’exploitation humaine. Elle met en contraste l’excitation liée aux paris sportifs, au désespoir des victimes du trafic d’êtres humains.

Le ton est délibérément provocateur : parier sur la souffrance humaine est horrible, nous sommes tous d’accord. Mais cette approche permet de confronter des réalités qui coexisteront pendant un mois : la réalité de la Coupe du Monde et celle d’individus qui traitent les autres comme de la marchandise, comme une monnaie d’échange pour leur propre profit.

A Penny For Your Thoughts/Tatiana

Campagne de sensibilisation à l’exploitation sexuelle

 

En Europe, l’exploitation sexuelle est en expansion, les victimes sont difficilement identifiées, les acteurs de lutte contre l’exploitation sur le terrain trop peu nombreux et les législations européennes floues et/ou contradictoires d’un pays à l’autre. Le résultat est que les trafiquants passent entre les mailles du filet et utilisent des moyens de contraindre leurs victimes qui sont inconnus du grand public et donc des potentiels utilisateurs de ces services.

Une affiche interpellante est apparue pendant un mois sur les murs de 6 villes européennes, dont Bruxelles. Une silhouette provocante, un prénom et un numéro de téléphone en sont les seuls éléments. Derrière le numéro belge, Tatiana, victime d’exploitation sexuelle, raconte son histoire et invite chacun à laisser un commentaire, «a thought». Cette campagne a été déclinée conjointement dans 6 villes européennes : Bruxelles, Paris, Bucarest, Sofia, Dublin et Lisbonne.

À l’origine de cette curieuse campagne d’information sur l’exploitation sexuelle, nous trouvons Marian van der Zwaan, une artiste néerlandaise engagée dans la lutte contre les discriminations faites à l’encontre des femmes et des immigrés. Par un travail de recherche et d’interviews de victimes et d’acteurs de terrain, Marian van der Zwaan expose les problèmes sociaux de notre époque. Marian van der Zwaan expose les problèmes sociaux de notre époque. Son travail a notamment reçu le soutien d’Amnesty International, des Nations Unies ainsi que de différents gouvernements.

Tatiana « A penny for your thoughts »

Campagne de sensibilisation / 2017

En Europe, l’exploitation sexuelle est en expansion, les victimes sont difficilement identifiées, les acteurs de lutte contre l’exploitation sur le terrain trop peu nombreux et les législations européennes floues et/ou contradictoires d’un pays à l’autre. Le résultat est que les trafiquants passent entre les mailles du filet et utilisent des moyens de contraindre leurs victimes qui sont inconnus du grand public et donc des potentiels utilisateurs de ces services.

Une affiche interpellante est apparue pendant un mois sur les murs de 6 villes européennes, dont Bruxelles. Une silhouette provocante, un prénom et un numéro de téléphone en sont les seuls éléments. Derrière le numéro belge, Tatiana, victime d’exploitation sexuelle, raconte son histoire et invite chacun à laisser un commentaire, «a thought». Cette campagne a été déclinée conjointement dans 6 villes européennes : Bruxelles, Paris, Bucarest, Sofia, Dublin et Lisbonne.

À l’origine de cette curieuse campagne d’information sur l’exploitation sexuelle, nous trouvons Marian van der Zwaan, une artiste néerlandaise engagée dans la lutte contre les discriminations faites à l’encontre des femmes et des immigrés. Par un travail de recherche et d’interviews de victimes et d’acteurs de terrain, Marian van der Zwaan expose les problèmes sociaux de notre époque. Marian van der Zwaan expose les problèmes sociaux de notre époque. Son travail a notamment reçu le soutien d’Amnesty International, des Nations Unies ainsi que de différents gouvernements.